Microsoft : 3000 postes supprimés
Microsoft vient d’annoncer la suppression de 3000 postes partout dans le monde, dans le cadre de son plan de réduction d’effectifs annoncé en janvier. D'autres licenciements ne sont pas exclus. Cette vague de licenciements est la deuxième après celle annoncée en janvier dernier où 1400 personnes furent immédiatement licenciés dans à peu près tous les secteurs de la société (R&D, marketing, départements financier et juridique, ressources humaines et l'informatique). Microsoft avait alors annoncé devoir réduire ses effectifs de 5% en supprimant 5000 postes dans le courant de l'année. Bien que cet objectif soit désormais quasiment atteint, Steve Ballmer n'a pas exclu que d'autres licenciements puissent avoir lieu. « Nous allons surveiller de près l'impact de la récession sur la compagnie et si nécessaire prendre de nouvelles décisions y compris d'autres suppressions de postes »,
Pour la première fois de son histoire, Microsoft a publié un résultat trimestriel en baisse avec un chiffre d'affaires en recul de 6% (13,6 milliards de dollars) et un bénéfice en chute de 32% (2,9 mds de dollars). Outre la crise économique qui a touché tout le secteur IT, la situation actuelle de Microsoft s'explique notamment par sa contre performance sur le marché Windows avec un recul des ventes de 16% lors du dernier trimestre dont la raison principale est l'échec de Vista.
Microsoft vient d’annoncer la suppression de 3000 postes partout dans le monde, dans le cadre de son plan de réduction d’effectifs annoncé en janvier. D'autres licenciements ne sont pas exclus. Cette vague de licenciements est la deuxième après celle annoncée en janvier dernier où 1400 personnes furent immédiatement licenciés dans à peu près tous les secteurs de la société (R&D, marketing, départements financier et juridique, ressources humaines et l'informatique). Microsoft avait alors annoncé devoir réduire ses effectifs de 5% en supprimant 5000 postes dans le courant de l'année. Bien que cet objectif soit désormais quasiment atteint, Steve Ballmer n'a pas exclu que d'autres licenciements puissent avoir lieu. « Nous allons surveiller de près l'impact de la récession sur la compagnie et si nécessaire prendre de nouvelles décisions y compris d'autres suppressions de postes »,
Pour la première fois de son histoire, Microsoft a publié un résultat trimestriel en baisse avec un chiffre d'affaires en recul de 6% (13,6 milliards de dollars) et un bénéfice en chute de 32% (2,9 mds de dollars). Outre la crise économique qui a touché tout le secteur IT, la situation actuelle de Microsoft s'explique notamment par sa contre performance sur le marché Windows avec un recul des ventes de 16% lors du dernier trimestre dont la raison principale est l'échec de Vista.
Microsoft a fait état jeudi d'une forte baisse de son bénéfice trimestriel mais son action a monté car les investisseurs saluent les mesures suivies de réduction des coûts et le fait que le lancement de Windows 7 soit toujours dans les temps.
Le numéro un mondial des logiciels, qui a retiré ses projections économiques en janvier en raison d'un contexte économique incertain, a dit que la faiblesse de ses marchés persisterait au moins jusqu'au prochain trimestre.
Les comptes de Microsoft, publiés après les solides résultats d'Apple et d'autres poids lourds de la high tech cette semaine, font dans l'ensemble plaisir aux analystes, dont certains attendaient bien pire.
"C'est bien de voir qu'ils contrôlent leurs coûts parce que cela reste dans leur sphère de contrôle. En revanche, ils ne peuvent pas faire grand chose pour la demande", constate Kim Caughey (Pitt Capital Group).
"Ils ont un bon cycle de renouvellement des produits qui s'amorce et qui devrait leur permettre de préserver leur part de marché", ajoute-t-elle, faisant référence au système d'exploitation Windows 7.
Microsoft table sur 26,7 à 26,9 milliards de dollars de charges d'exploitation sur l'exercice fiscal en cours, qui sera clos le 30 juin. Trois mois auparavant, il anticipait 27,4 milliards de dollars.
Le groupe de Redmond avait annoncé en janvier qu'il supprimerait sur une période de 18 mois 5.000 emplois, soit un peu plus de 5% de ses effectifs qui représentent 96.000 salariés. Il compte ainsi économiser 1,5 milliard de dollars par an et a procédé à la suppression immédiate de 1.400 emplois.
Microsoft, qui a lancé la version beta de Windows 7 ce trimestre, a dit qu'il était bien parti pour le commercialiser durant l'exercice fiscal 2010, donc avant juillet de l'an prochain.
La plupart des experts du secteur l'attendent bien avant, Microsoft voulant rapidement mettre hors circuit Vista, l'impopulaire prédécesseur
Le géant des logiciels a fait état d'un bénéfice de 2,98 milliards de dollars au troisième trimestre, soit 33 cents par action, contre 4,39 milliards (47 cents) un an auparavant.
Hors charge liée à des licenciements récents et à des dépréciations d'investissements, le BPA est de 39 cents, conforme au consensus de Reuters Estimates.
Le chiffre d'affaires a baissé de 6% à 13,65 milliards de dollars. C'est la première contraction trimestrielle du C.A., à trimestre comparable, depuis les 34 années d'existence de Microsoft. Le consensus donnait un C.A. de 14,10 milliards de dollars.
L'action gagnait 4% en après-Bourse, après avoir clôturé à 18,92 dollars
Le numéro un mondial des logiciels, qui a retiré ses projections économiques en janvier en raison d'un contexte économique incertain, a dit que la faiblesse de ses marchés persisterait au moins jusqu'au prochain trimestre.
Les comptes de Microsoft, publiés après les solides résultats d'Apple et d'autres poids lourds de la high tech cette semaine, font dans l'ensemble plaisir aux analystes, dont certains attendaient bien pire.
"C'est bien de voir qu'ils contrôlent leurs coûts parce que cela reste dans leur sphère de contrôle. En revanche, ils ne peuvent pas faire grand chose pour la demande", constate Kim Caughey (Pitt Capital Group).
"Ils ont un bon cycle de renouvellement des produits qui s'amorce et qui devrait leur permettre de préserver leur part de marché", ajoute-t-elle, faisant référence au système d'exploitation Windows 7.
Microsoft table sur 26,7 à 26,9 milliards de dollars de charges d'exploitation sur l'exercice fiscal en cours, qui sera clos le 30 juin. Trois mois auparavant, il anticipait 27,4 milliards de dollars.
Le groupe de Redmond avait annoncé en janvier qu'il supprimerait sur une période de 18 mois 5.000 emplois, soit un peu plus de 5% de ses effectifs qui représentent 96.000 salariés. Il compte ainsi économiser 1,5 milliard de dollars par an et a procédé à la suppression immédiate de 1.400 emplois.
Microsoft, qui a lancé la version beta de Windows 7 ce trimestre, a dit qu'il était bien parti pour le commercialiser durant l'exercice fiscal 2010, donc avant juillet de l'an prochain.
La plupart des experts du secteur l'attendent bien avant, Microsoft voulant rapidement mettre hors circuit Vista, l'impopulaire prédécesseur
Le géant des logiciels a fait état d'un bénéfice de 2,98 milliards de dollars au troisième trimestre, soit 33 cents par action, contre 4,39 milliards (47 cents) un an auparavant.
Hors charge liée à des licenciements récents et à des dépréciations d'investissements, le BPA est de 39 cents, conforme au consensus de Reuters Estimates.
Le chiffre d'affaires a baissé de 6% à 13,65 milliards de dollars. C'est la première contraction trimestrielle du C.A., à trimestre comparable, depuis les 34 années d'existence de Microsoft. Le consensus donnait un C.A. de 14,10 milliards de dollars.
L'action gagnait 4% en après-Bourse, après avoir clôturé à 18,92 dollars
Microsoft Corp. posted a 32% drop in profit and the first decline in quarterly revenue in its 23-year history as a public company, as the global recession took a toll on nearly every segment of the software company's business.
Four of Microsoft's five business divisions recorded lower sales, including a 16% decline in its flagship Windows business to $3.4 billion. Microsoft executives blamed the drop on a general pullback in spending on PCs by both consumers and businesses. PC shipments fell by 6.5% in the first three months of the year, according to Gartner Inc.
In a conference call with analysts, Microsoft Chief Financial Officer Chris Liddell dispelled hopes that the company's business will soon bottom out, saying the company expects the remainder of the calendar year to "remain very challenging."
Still, Microsoft shares rose 3.7% to $19.61 in after-hours trading because the fiscal third-quarter results were better than some of the worst-case scenarios envisioned by investors, aided in part by aggressive cost-cutting at the company. Shares finished regular trading little changed at $18.92 on the Nasdaq Stock Market.
[Windows Vista]
The Redmond, Wash., company, said total revenue declined 5.6% to $13.65 billion in the quarter ended March 31 from $14.45 billion a year earlier. The decline marks the end of a streak of uninterrupted year-over-year growth that has made Microsoft into one of the largest and richest corporations.
In addition to slumping PC sales, Microsoft faces a challenge from netbooks, the inexpensive laptop computers that are the only segment of the PC business enjoying growth. Microsoft hasn't been able to charge as much for the versions of Windows that are generally bundled with netbooks as it can for software included with other types of PCs.
Microsoft executives said Thursday they believe netbooks didn't steal meaningful sales from more lucrative PCs and that the decline in its Windows business would have been more severe in the absence of the netbook market.
The company reported net income of $2.98 billion, or 33 cents a share, from $4.39 billion, or 47 cents, in the year-earlier period. The latest results included a $420 million charge stemming from impairments to investments and a $290 million charge from severance payments related to layoffs the company announced in January.
Microsoft's revenue missed analysts' expectations by about $500 million, but many investors had privately feared worse.
"I think the fear was a billion-dollar shortfall," said Sandeep Aggarwal, an analyst at Collins Stewart LLC.
In one sign that Microsoft intends to closely manage its costs during the downturn, it lowered the midpoint of its forecast for operating expenses for the fiscal year ending June 30 by roughly $600 million. Earlier this year, it said it would cut 5,000 jobs.
The company said revenue in its business division, which includes the Office and Exchange products, fell 5% to $4.51 billion. Meanwhile, its online services business dropped 14% to $721 million due to weakness in the advertising market.
[software slowdown]
In a further sign of the challenges Microsoft faces on the Internet, its operating losses from the online services division more than doubled to $575 million. The company is battling to improve its competitive position in Internet search and advertising against Google Inc., but has made little progress by most important measures. The company has continued to hire within its Internet group even as it has made staff cutbacks elsewhere in the company.
The division that includes the Xbox 360 videogame system had sales of $1.57 billion, down slightly from a year ago.
The only segment of Microsoft's business that eked out any growth was its server and tools division, dominated by Windows Server and its SQL database products, which rose 7% to $3.47 billion.
Microsoft has several major product launches nearing that could give its business a lift. The company has said it intends to release Windows 7, the next major version of its operating system for PCs, by January, though people familiar with the matter expect it will arrive on new PCs by October.